Si une équipe organise une séance d’entraînement la veille du match dans la salle du match, celle-ci doit être ouverte à toutes les catégories de médias pendant au moins 15 minutes. Si l’accès est limité à 15 minutes, l’association organisatrice est chargée de veiller à ce que les médias aient quitté la salle après ce laps de temps et à ce que toutes les caméras soient arrêtées.
Sur demande, les associations doivent mettre à disposition leur entraîneur principal et une joueuse la veille de chaque match pour des interviews avec le diffuseur hôte et/ou avec les principaux détenteurs de droits audiovisuels sur les territoires des associations participantes.
Sur demande, chaque association doit mettre à la disposition des médias son entraîneur principal et au moins une joueuse la veille du match. En fonction du nombre de représentants des médias, cette activité médias peut prendre la forme d’une conférence de presse ou adopter une forme moins structurée. Si l’entraîneur principal est suspendu pour le match, l’association peut le remplacer par l’entraîneur assistant pour cette activité médias d’avant-match. Les activités médias d’avant-match doivent être organisées par les associations de telle sorte que les médias puissent assister aux deux séances.
Chaque équipe doit mettre son entraîneur principal à la disposition des médias après le match. En fonction du nombre de représentants des médias présents, cette activité médias peut prendre la forme d’une conférence de presse ou adopter une forme moins structurée. Elle doit commencer au plus tard 20 minutes après le coup de sifflet final. Si l’entraîneur principal d’une équipe est suspendu pour le match ou expulsé durant la rencontre, l’équipe peut le remplacer par l’entraîneur assistant lors des interviews d’après-match. Il incombe à l’association organisatrice de mettre à disposition toutes les installations techniques nécessaires.
Après le match, une zone mixte est mise en place pour offrir aux journalistes des occasions supplémentaires pour réaliser des interviews. Cette zone est située à proximité du terrain de jeu et des vestiaires des équipes, et est accessible uniquement aux entraîneurs, aux joueuses et aux représentants des médias.
Chaque équipe doit mettre à disposition au moins trois joueuses qui ont participé au match pour des interviews dans chaque secteur de la zone mixte, sur demande.
Les interviews sont interdites sur le terrain de jeu et à proximité immédiate de celui-ci avant et pendant le match.
Les interviews d’avant-match, à la mi-temps et d’après-match peuvent avoir lieu dans la salle comme suit. Les lieux et les créneaux horaires doivent être convenus à l’avance entre l’UEFA et chaque équipe.
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Les associations doivent s’efforcer de mettre à disposition leur entraîneur principal ou une joueuse inscrite sur la feuille de match pour une interview d’avant-match portant exclusivement sur le match en question. En principe, cette interview est menée par le diffuseur hôte et/ou par le principal détenteur de droits audiovisuels du pays de l’association.
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Des interviews d’avant-match supplémentaires peuvent être effectuées avec l’entraîneur principal et avec des joueuses, sous réserve de leur accord.
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Des interviews à la mi-temps peuvent être effectuées avec l’entraîneur principal, avec l’entraîneur assistant ou avec des joueuses, sous réserve de leur accord.
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Sur demande, chaque équipe doit mettre une joueuse à disposition pour une interview super flash avec le diffuseur hôte ou avec le principal détenteur de droits audiovisuels de son pays, selon les dispositions de l’UEFA.
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Les interviews flash ont lieu immédiatement après le coup de sifflet final, dans une zone située entre les bancs de touche et les vestiaires. Sur demande, chaque équipe doit mettre à disposition son entraîneur principal et au moins deux joueuses clés pour les détenteurs de droits audiovisuels.